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SUTENT 12,5 mg gélules
2013-08-04 22:17:06 来源: 作者: 【 】 浏览:683次 评论:0

Drug Description

Chaque gélule contient du malate de sunitinib, équivalant à 12,5 mg de sunitinib.Excipient(s) : 80,0 mg de mannitol.
Presentation

Gélules.Gélule en gélatine constituée d’une coiffe orange sur laquelle est imprimé « Pfizer » à l’encre blancheet d’un corps orange sur lequel est imprimé « STN 12,5 mg » à l’encre blanche, contenant des granulesde couleur jaune orangé.
Indications

Tumeur stromale gastro-intestinale (GIST)
SUTENT est indiqué dans le traitement des tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) malignes non résécables et/ou métastatiques, après échec d’un traitement par le mésylate d’imatinib dû à une résistance ou à une intolérance.

Cancer du rein métastatique (MRCC)
SUTENT est indiqué dans le traitement des cancers du rein avancés et/ou métastatiques (MRCC).

Adult Dosage

Le traitement doit être instauré par un médecin ayant l’expérience du traitement des cancers du rein ou des GIST.

La dose de SUTENT recommandée est de 50 mg, par voie orale, à raison d’une prise quotidienne pendant 4 semaines consécutives, suivie d’une fenêtre thérapeutique de 2 semaines (schéma posologique 4/2), correspondant à un cycle complet de 6 semaines.

Ajustements de doses

Tolérance et innocuité

Des ajustements de doses par paliers de 12,5 mg pourront être effectués en fonction de la tolérance individuelle au traitement. La dose journalière ne devra pas excéder 75 mg ni être inférieure à 25 mg.

Inhibiteurs / inducteurs du CYP3A4
L’administration concomitante d’inducteurs puissants du CYP3A4 tels que la rifampicine devra être évitée. Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT administrée pourra être augmentée par paliers de 12,5 mg (jusqu’à 87,5 mg par jour) sous étroite surveillance de la
tolérance.

L’administration concomitante de SUTENT et d’inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que le kétoconazole devra être évitée. Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT pourra être diminuée jusqu’à une dose minimale de 37,5 mg par jour, sous étroite surveillance de la tolérance.

Le choix d’un autre traitement concomitant ayant peu ou pas d’effet sur l’induction ou l’inhibition du CYP3A4 devra être envisagé.

Utilisation chez l’enfant : La tolérance et l’efficacité de SUTENT n’ont pas été établies chez l’enfant. SUTENT ne devra pas être utilisé chez l’enfant jusqu’à la mise à disposition de données supplémentaires.

Utilisation chez le sujet âgé : Environ 34 % des sujets ayant participé aux études cliniques de SUTENT étaient âgés de 65 ans ou plus. Aucune différence significative relative à la tolérance ou à l’efficacité n’a été observée par rapport à des patients plus jeunes.

Insuffisance hépatique : Aucun ajustement posologique n’est recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée (classe A et B de Child-Pugh). SUTENT n’a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique de classe C de Child-Pugh.

Insuffisance rénale : Aucune étude clinique n’a été menée chez des patients présentant une insuffisance rénale.

SUTENT peut être pris au cours ou en dehors d’un repas.

Si une dose est oubliée, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire, mais il doit prendre la dose habituellement prescrite, le jour suivant.

Contra Indications

Hypersensibilité au malate de sunitinib ou à l’un des excipients.

Special Precautions

L’administration concomitante d’inducteurs puissants du CYP3A4 tels que la rifampicine peut faire baisser les concentrations plasmatiques de sunitinib. L’association de SUTENT avec ces inducteurs devra donc être évitée. Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT pourra être augmentée (voir rubriques 4.2 et 4.5).

L’administration concomitante d’inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que le kétoconazole peut faire augmenter les concentrations plasmatiques de sunitinib. Le choix d’un autre traitement concomitant n’ayant peu ou pas d’effet sur l’inhibition enzymatique est recommandé. Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT pourra être réduite (voir rubriques 4.2 et 4.5).

Effets sur la peau et certains tissus
Une modification de la couleur de la peau, probablement due à la couleur du principe actif (jaune), est un événement indésirable fréquent lié au traitement, survenant chez environ 30 % des patients. Les patients doivent également être avertis qu’une dépigmentation de la peau ou des cheveux peut également survenir pendant le traitement par SUTENT. D’autres effets dermatologiques peuvent se produire, tels qu’une sécheresse, un épaississement ou un craquellement de la peau, l’apparition de vésicules ou, occasionnellement, des éruptions sur la paume des mains ou la plante des pieds. Des douleurs ou irritations de la bouche ont été rapportées chez environ 14 % des patients. Une dysgueusie (trouble du goût) a été rapportée chez environ 28 % des patients. Les événements rapportés ci-dessus n’étaient pas cumulatifs, ils ont généralement été réversibles et en
général n’ont pas nécessité l’interruption du traitement.

Hémorragies
Les événements hémorragiques, dont certains ont été d’issue fatale, rapportés après la mise sur le marché sont des hémorragies gastro-intestinales, respiratoires, tumorales, du tractus urinaire et cérébrale. Dans les essais cliniques, des hémorragies tumorales liées au traitement sont survenues chez environ 2 % des patients atteints de GIST. Elles sont susceptibles d’apparaître de façon soudaine et, dans les cas de tumeurs pulmonaires, peuvent se présenter sous forme d’hémoptysies ou d’hémorragies pulmonaires sévères mettant en jeu le pronostic vital. Des hémorragies pulmonaires mortelles sont survenues chez 2 patients recevant du SUTENT au cours d’un essai clinique portant sur des patients atteints de cancers du poumon métastatiques non à petites cellules (CPNPC). Les deux patients présentaient un carcinome épidermoïde. L’utilisation de SUTENT n’est pas autorisée chez les patients atteints de CPNPC. Au cours d’une étude de phase 3 portant sur des patients atteints de GIST, des épisodes hémorragiques sont survenus chez 18 % des patients recevant SUTENT, comparativement à 17 % des patients recevant le placebo. Parmi les patients atteints de MRCC non prétraités recevant SUTENT, 28% ont présenté des épisodes hémorragiques, comparativement à 7 % des patients recevant l’interferon-alpha (IFN-α). Sept patients (1,9 %) recevant du malate de sunitinib et 0 % des patients recevant l’IFN-α ont présenté des épisodes hémorragiques de grade 3 ou supérieur liés au traitement. Parmi les patients atteints de MRCC recevant du malate de sunitinib après l’échec d’un traitement à base de cytokine, 26% ont présenté des épisodes hémorragiques. Les évaluations de routine du risque hémorragique doivent comprendre une numération formule sanguine et un examen physique.

L’épistaxis a été l’événement indésirable hémorragique lié au traitement le plus fréquemment rapporté, celui-ci étant survenu chez environ la moitié des patients présentant des tumeurs solides et ayant eu des événements hémorragiques. Certains de ces événements ont été sévères, mais ont très rarement évolué vers le décès.

Effets gastro-intestinaux
Nausée, diarrhée, stomatite, dyspepsie et vomissement ont été les événements gastro-intestinaux liés au traitement les plus fréquemment rapportés.

La prise en charge symptomatique des événements indésirables gastro-intestinaux peut consister en un traitement par anti-émétiques ou anti-diarrhéiques.

Sphère gastro-intestinale
Des complications gastro-intestinales graves parfois mortelles, incluant une perforation gastrointestinale, sont survenues dans de rares cas chez des patients présentant des tumeurs malignes intraabdominales et traités avec SUTENT. Une hémorragie gastro-intestinale d’issue fatale liée au
traitement a été rapportée chez 0,5 % des patients recevant le plac bo au cours de l’étude GIST de phase 3.

Hypertension
Une hypertension liée au traitement a été rapportée chez environ 16 % des patients atteints de tumeurs solides. Les doses de SUTENT ont été réduites ou son administration temporairement retardée chez environ 2,7 % de cette population de patients. Aucun de ces patients n’a dû interrompre le traitement. Une hypertension sévère (pression systolique > 200 mm Hg ou pression diastolique > 110 mm Hg) est survenue chez 4,7 % de ces patients. Une hypertension liée au traitement a été rapportée chez environ 24 % des patients atteints de MRCC non prétraités qui recevaient le malate de sunitinib et chez 1 % de ceux qui recevaient l’IFN-α. Une hypertension sévère est survenue chez 5 % des patients non prétraités recevant le malate de sunitinib et chez 1 % des patients recevant l’IFN-α. L’hypertension doit être dépistée et si nécessaire traitée de façon appropriée. Une interruption temporaire du traitement est recommandée chez les patients atteints d’hypertension sévère non contrôlée médicalement. Le traitement peut être repris dès que l’hypertension est correctement contrôlée.

Effets hématologiques
Des diminutions du nombre absolu des neutrophiles ont été rapportées chez 10 % (grade 3) et 1,7 % (grade 4) des patients de l’étude de phase 3 GIST, et chez 16% (grade 3) et 1,6% (grade 4) des patients de l’étude de phase 3 MRCC. Des diminutions du nombre des plaquettes ont été rapportées chez 3,7 % (grade 3) et 0,4 % (grade 4) des patients de l’étude de phase 3 GIST et chez 8,2% (grade 3) et 1,1% (grade 4) des patients de l’étude de phase 3 MRCC. Les événements rapportés ci-dessus n’étaient pas cumulatifs, et en général ont été réversibles et n’ont pas nécessité l’interruption du traitement. Aucun de ces événements pendant les études de phases 3 n’ont été d’issue fatale, mais de rares événements hématologiques d’issue fatale ont été rapportés après la mise sur le marché.

Une numération formule sanguine devra être effectuée au début de chaque cycle de traitement par SUTENT.

Effets cardiovasculaires
Les événements cardiovasculaires, dont certains ont été d’issue fatale, rapportés après la mise sur le marché sont une diminution de la fraction d’éjection ventriculaire gauche (FEVG) et une insuffisance cardiaque. Dans les essais cliniques, une diminution de la FEVG supérieure ou égale à 20 %, et en dessous de la limite inférieure de la normale, est survenue chez environ 2 % des patients atteints de GIST, chez 4% des patients atteints de MRCC traités par SUTENT après échec d’un traitement à base de cytokine, chez 2 % des patients recevant un placebo. Ces diminutions de la FEVG ne semblent pas avoir été évolutives et se sont souvent améliorées avec la poursuite du traitement. Au cours de l’étude portant sur des patients ayant un MRCC non prétraité, 21 % des patients recevant SUTENT et 12 % des patients recevant l’IFN-α, ont présenté une valeur de la FEVG inférieure à la limite inférieure de la normale. Un cas d’insuffisance cardiaque congestive (ICC) a été diagnostiqué chez un patient(moins de 1 %) ayant reçu SUTENT.

Des cas « d’insuffisance cardiaque », « d’insuffisance cardiaque congestive » ou « d’insuffisance ventriculaire gauche » liés au traitement ont été rapportés chez 0,7 % des patients atteints de tume rs solides et 1 % des patients recevant un placebo. Tous ces patients présentaient un GIST. Au cours de l’étude de phase 3 chez des patients atteints de GIST (n=312), des événements cardiaques d’issue fatale liés au traitement sont survenus chez 1 % des patients de chaque bras de l’étude (c’est-àdire bras SUTENT et bras placebo). Au cours d’une étude de phase 2 chez des patients atteints de MRCC réfractaire au traitement par cytokine, un infarctus du myocarde d’issue fatale lié au traitement a été rapporté chez 0,9 % des patients et, dans l’étude de phase 3 chez des patients atteints de MRCC non prétraités, des événements cardiaques d’issue fatale ont été rapportés chez 0,6 % des patients du bras IFN-α et aucun événement cardiaque d’issue fatale n’a été rapporté chez les patients du bras SUTENT. La corrélation éventuelle entre l’inhibition des récepteurs à tyrosinase kinase (RTK) et la fonction cardiaque n’est pas élucidée.

Les patients ayant présenté des événements cardiaques dans les 12 mois précédant l’administration de SUTENT, tels qu’infarctus du myocarde (y compris angor sévère ou instable), pontage artériel coronarien ou périphérique par greffe, insuffisance cardiaque congestive symptomatique, accident vasculaire cérébral ou épisode ischémique transitoire, ou embolie pulmonaire, n’ont pas été inclus dans les études cliniques de SUTENT. Une surveillance stricte est recommandée chez les patients présentant des signes cliniques et symptômes d’ICC, en particulier chez les patients ayant des facteurs de risque cardiaques et/ou des antécédents de maladie coronarienne.

Il est conseillé aux médecins de bien apprécier ce risque par rapport aux bénéfices escomptés du traitement. L’apparition de signes cliniques ou symptômes d’ICC chez ces patients devra être soigneusement surveillée au cours du traitement par SUTENT. Des évaluations initiales et périodiques de la FEVG devront être envisagées chez les patients traités par SUTENT. Chez les patients sans facteurs de risques cardiaques, une évaluation initiale de la fraction d’éjection devra être envisagée. En cas de manifestations cliniques d’ICC, il est recommandé d’interrompre l’administration de SUTENT. L’administration de SUTENT devra également être interrompue, ou les doses réduites, chez les patients sans signe clinique d’ICC mais dont la fraction d’éjection a diminué de 20% par rapport à la valeur initale et est inférieure à 50 %.

Allongement de l’intervalle QT
Les données des études non-cliniques (in vitro et in vivo) menées avec des doses supérieures à la dose recommandée chez l’homme indiquent que le sunitinib peut inhiber le processus de repolarisation du potentiel d’action cardiaque (par exemple allongement de l’intervalle QT).

Des allongements de l'intervalle QTc de plus de 500 ms se sont produits chez 0,5 % des 450 patients présentant une tumeur solide et des modifications de plus de 60 ms par rapport aux valeurs initiales chez 1,1 % de ces patients. Ces deux paramètres sont considérés comme des modifications potentiellement significatives.

A des concentrations d’environ deux fois les concentrations thérapeutiques, SUTENT a montré une prolongation de l’intervalle QTcF (correction de Frederica).

L’allongement de l’intervalle QT a été étudié dans un essai clinique, chez 24 patients âgés de 20 à 87 ans, présentant des cancers à un stade avancé. Les résultats de cette étude ont montré que le sunitinib a eu un effet sur l’intervalle QTc (défini comme une modification moyenne, ajustée pour les valeurs aous placebo, supérieure à 10 ms avec une limite supérieure de l’IC à 90 % supérieure à 15 ms) aux concentrations thérapeutiques (jour 3) en utilisant la méthode de correction des valeurs initiales en cours de journée, et aux concentrations supérieures aux concentrations thérapeutiques (jour 9) en utilisant les deux méthodes de correction des valeurs initiales. Aucun patient n’a présenté de valeur du QTc supérieure à 500 ms.

Bien qu’un effet sur l’intervalle QTcF ait été observé 24 heures après la prise du jour 3 (concentration plasmatique thérapeutique attendue après l’administration de la dose initiale recommandée de 50 mg) avec la méthode de correction des valeurs initiales en cours de journée, la pertinence clinique de cette observation n’est pas claire.

Les évaluations d’ECG répétées et interprétables pratiquées lors des expositions thérapeutiques ou lors d’expositions supérieures ont montré qu’aucun patient des populations évaluable ou en intention de traiter (ITT) n’avait développé un allongement de l’intervalle QTc considéré comme sévère (c’est-àdire supérieur ou égal au grade 3 CTCAE version 3.0).

Aux concentrations plasmatiques thérapeutiques, la modification maximale moyenne du QTcF (correction de Frederica) par rapport aux valeurs initiales a été de 9,6 ms (IC à 90 %, 15,1 ms). A des concentrations d’environ deux fois les concentrations thérapeutiques, la modification maximale
du QTcF par rapport aux valeurs initiales a été de 15,4 ms (IC à 90 %, 22,4 ms). Après administration de moxifloxacine (400 mg), utilisée comme témoin positif, la modification maximale moyenne du QTcF par rapport aux valeurs initiales a été de 5,6 ms. Aucun sujet n’a présenté d’allongement de l’intervalle QTc supérieur au grade 2 (CTCAE version 3.0). Aucun patient n’a présenté d’arythmie cardiaque.

L’allongement de l’intervalle QT peut entraîner une augmentation du risque d’arythmies ventriculaires y compris une torsade de pointes. Une torsade de pointes a été observée chez moins de 0,1 % des patients ayant reçu SUTENT.

SUTENT devra être utilisé avec précaution chez les patients ayant déjà présenté un allongement de l’intervalle QT, ainsi que chez ceux qui prennent des antiarythmiques ou présentant une pathologie cardiaque préexistante, une bradycardie ou des troubles électrolytiques. Un traitement concomitant par des inhibiteurs puissants du CYP3A4 susceptibles de faire augmenter les concentrations plasmatiques de sunitinib devra également être utilisé avec précaution, et la dose de SUTENT réduite.

Effets thromboemboliques veineux
Des événements thromboemboliques veineux liés au traitement ont été rapportés chez environ 1,0% des patients présentant une tumeur solide qui ont reçu SUTENT dans des essais cliniques, y compris GIST et MRCC.

Dans une étude de phase 3 portant sur des patients atteints de GIST, des évènements thromboemboliques veineux sont survenus chez sept patients (3 %) recevant SUTENT et aucun évènement n’a été observé chez les patients recevant le placebo; cinq de ces sept patients ont eu des
thromboses veineuses profondes (TVP) de grade 3, et deux de ces patients des TVP de grade 1 ou 2. Quatre de ces sept patients ont vu leur traitement interrompu après la première observation de TVP. Des évènements thromboemboliques veineux liés au traitement ont été rapportés chez sept patients (1,9 %) atteints de MRCC non prétraités recevant SUTENT dans une étude de phase 3, et chez quatre patients (2 %) inclus dans les deux études portant sur les patients atteints de MRCC après échec d’un traitement à base de cytokine. Six de ces patients ont présenté des embolies pulmonaires – une de grade 3 et cinq de grade 4 –, et cinq de ces patients ont présenté une TVP – une de grade 1, une de grade 2 et trois de grade 3.

Des évènements thromboemboliques veineux sont survenus chez six patients (2 %) atteints de MRCC non prétraités recevant l’IFN-α: un patient (<1 %) a présenté une TVP de grade 3 et cinq patients (1 %) des embolies pulmonaires dont une de grade 1 et quatre de grade 4.

Aucun cas d’issue fatale n’a été rapporté dans les études d’enregistrement GIST et MRCC. Des cas d’issue fatale ont été observés dans le cadre de la mise sur le marché.

Effets respiratoires
Les patients qui présentaient une embolie pulmonaire dans les 12 mois précédents les essais cliniques de SUTENT ont été exclus.

Chez les patients qui ont reçu SUTENT dans les études d’enregistrement de phase 3, des événements pulmonaires liés au traitement (i.e. dyspnée, effusion pleurale, embolie pulmonaire ou oedème pulmonaire) ont été rapportés chez environ 5 % des patients atteints de GIST et chez environ 14% des patients atteints de MRCC. De rares cas d’issue fatale ont été rapportés. Environ 8% des patients ayant des tumeurs solides, y compris GIST et MRCC, qui ont reçu SUTENT dans les essais cliniques ont présenté des événements pulmonaires liés au traitement.

Des cas d’embolie pulmonaire ont été observés chez environ 1,3% des patients atteints des GIST et chez environ 0,8% des patients atteints de MRCC, qui ont reçu Sutent dans les études de phase 3.

Dysfonction thyroïdienne
Une évaluation par tests biologiques de la fonction thyroïdienne préalable au traitement par sunitinib est recommandée, et les patients atteints d’hypothyroïdie ou d’hyperthyroïdie devront être traités conformément à la pratique médicale standard. Les signes et symptômes de dysfonction thyroïdienne devront être étroitement surveillés chez tous les patients traités par le sunitinib. Les patients présentant des signes et/ou des symptômes évocateurs d’une dysfonction thyroïdienne devront bénéficier d’une surveillance biologique de la fonction thyroïdienne et être traités conformément à la pratique médicale standard.

Une hypothyroïdie a été rapportée chez 7 patients (4 %) inclus dans l’une ou l’autre des deux études portant sur des patients atteints de MRCC après échec d’un traitement à base de cytokine ; chez neuf patients (2 %) recevant SUTENT et chez 1 patient (<1 %) recevant l’IFN-α dans l’étude portant sur
des patients atteints de MRCC non prétraités. De plus, une élévation de la TSH a été rapportée chez 4 patients (2 %) présentant un MRCC après échec d’un traitement à base de cytokine. Globalement, 7 % des patients atteints de MRCC ont présenté des signes cliniques ou biologiques d’hypothyroïdie sous traitement. Une hypothyroïdie apparue sous traitement par SUTENT a également été rapportée chez 8 patients (4 %) atteints de GIST versus 1 (1 %) sous placebo. De rares cas d’hyperthyroïdie, parfois suivie d’une hypothyroïdie, ont été rapportés dans les essais cliniques et après la mise sur le marché.

Pancréatite

Des augmentations sériques des lipases et des amylases ont été observées chez des patients présentant diverses formes de tumeurs solides et ayant reçu du SUTENT. Les augmentations sériques des lipases ont été transitoires et généralement non associées à des signes ou symptômes de pancréatite chez des patients présentant diverses formes de tumeurs solides. Un cas de pancréatite a été rarement (<1 %) observé chez les patient atteints de MRCC ou de GIST et traités par SUTENT. Des cas graves de pancréatite, dont certains d’issue fatale, ont été rapportés.

En présence de symptômes de pancréatite, le traitement par SUTENT devrait être arrêté et les patients devront bénéficier d’un suivi médical approprié.

Fonction hépatique
Des cas graves d’événements hépatobiliaires liés à SUTENT ont été rapportés chez des patients présentant des tumeurs solides ; une insuffisance hépatique ayant été observée chez moins de 1 % de ces patients.

Des cas d’événements hépatobiliaires, dont certains d’issue fatale, ont été rapportés. En présence de signes ou symptômes d’insuffisance hépatique, le traitement par SUTENT doit être arrêté et un traitement approprié doit être mis en place.

Fonction rénale
La sécurité des patients présentant une protéinurie modérée à sévère, poursuivant le traitement par SUTENT, n’a pas été systématiquement évaluée.

Des cas de protéinuries et de rares cas de syndrome néphrotique ont été rapportés.

Il est recommandé de pratiquer une analyse urinaire avant l’initiation du traitement et de surveiller ’apparition ou l’aggravation d’une protéinurie. Le traitement par Sutent doit être arrêté chez les atients présentant un syndrome néphrotique.

Crises convulsives
Dans les études cliniques et après la mise sur le marché de SUTENT, certains patients avec ou sans ignes radiologiques de métastases cérébrales ont présenté des crises convulsives. En outre, de rares as de convulsions (<1%) associées à des signes radiologiques d’un syndrome de eucoencéphalopathie postérieure réversible (RPLS) ont été rapportés. Les patients atteints de crises onvulsives et présentant des signes / symptômes suggérant un RPLS, tels qu’hypertension, céphalées, baisse de vigilance ou des facultés mentales, perte de la vision, et notamment cécité corticale, devront être surveillés et traités pour leur hypertension. Il est recommandé d’interrompre temporairement la prise de SUTENT ; après normalisation de l’état du patient, le traitement pourra être repris selon l’avis du médecin.

Interactions

Médicaments pouvant augmenter les concentrations plasmatiques de sunitinib.

L’administration concomitante de malate de sunitinib et d’un puissant inhibiteur du CYP3A4, le kétoconazole, a provoqué des élévations de 49% de la valeur de la Cmax et de 51 % de la valeur et de l’AUC0-∞ du complexe [sunitinib + métabolite principal], après une dose unique de malate de sunitinib chez des volontaires sains.

L’administration concomitante de SUTENT et d’inhibiteurs puissants de la famille du CYP3A4 (tels que le ritonavir, l’itraconazole, l’érythromycine, la clarithromycine, le jus de pamplemousse) peut augmenter les concentrations de sunitinib.

L’association de SUTENT avec ces inhibiteurs devra donc être évitée, ou l’utilisation d’un autre traitement pris de façon concomitante et présentant un potentiel inhibiteur du CYP3A4 minimal ou nul devra être envisagée.

Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT pourra être réduite jusqu’à une dose minimale journalière de 37,5 mg, sous surveillance étroite de la tolérance.

Médicaments pouvant diminuer des concentrations plasmatiques de sunitinib :
L’administration concomitante de malate de sunitinib et d’un inducteur du CYP3A4, la rifampicine, a provoqué des diminutions de 23% de la valeur de la Cmax et de 46 % de la valeur de l’AUC0-∞ du complexe [sunitinib + métabolite principal], après administration d’une dose unique de malate de
sunitinib chez des volontaires sains.

L’administration concomitante de SUTENT et d’inducteurs puissants de la famille du CYP3A4 (tels que la dexaméthasone, la phénytoïne, la carbamazépine, la rifampicine, le phénobarbital ou Hypericumperforatum (millepertuis)) peut diminuer les concentrations de sunitinib. L’association de SUTENT avec ces inducteurs devra donc être évitée, ou le choix d’un autre traitement concomitant ayant un potentiel inducteur sur le CYP3A4 nul ou réduit devra être envisagé.

Si cela n’est pas possible, la dose de SUTENT pourra être augmentée par paliers de 12,5 mg (jusqu’à une dose maximale journalière de 87,5 mg), sous surveillance étroite de la tolérance.

Afin de maintenir les concentrations cibles de sunitinib, l’utilisation des médicaments pris de façon concomitante et ayant un moindre potentiel inducteur devra être envisagée. Si cela n’est pas possible, des ajustements de doses de SUTENT pourront s’avérer nécessaires.

De rares cas d’hémorragies ont été observés chez des patients traités par SUTENT.

Les patients recevant un traitement anticoagulant concomitant (par exemple, warfarine ou acénocoumarol) pourront être surveillés de façon périodique en procédant à des numérations formule sanguine (plaquettes), des tests de facteurs de coagulation (TP/INR) et des examens physiques.

Adverse Reactions

Aucun cas de surdosage aigu avec SUTENT n’a été rapporté. Dans la mesure où il n’existe pas d’antidote spécifique à ce surdosage, le traitement devra consister en des mesures habituelles de traitement symptomatique. Si cela s’avère nécessaire, le médicament non absorbé peut être éliminé par des vomissements provoqués ou par lavage gastrique.

Manufacturer

Pfizer Limited
Updated

15 July 2009 

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