que sévère et n'est donc pas recommandée chez ces patients.
Autres facteurs intrinsèques
Le poids corporel, le sexe, la race et l'origine ethnique n'ont pas eu d'effet cliniquement pertinent sur la pharmacocinétique du baricitinib. Les effets moyens des facteurs intrinsèques sur les paramètres pharmacocinétiques (AUC et Cmax) sont généralement restés dans la variabilité pharmacocinétique interindividuelle du baricitinib. Par conséquent, aucun ajustement de dose n'est nécessaire sur la base de ces facteurs liés au patient.
Données précliniques
Les organes cibles de la toxicité qui ont été associés à l'effet pharmacologique du baricitinib dans les études de toxicité avec administration répétée, comprennent la moelle osseuse, le sang périphérique et le tissu lymphoïde. Les effets primaires sur les paramètres sanguins, les organes lymphoïdes et la moelle osseuse, qui ont été associés à une immunosuppression, étaient généralement réversibles et liés à l'inhibition de JAK. Les marges de sécurité établies par ces effets immunosuppresseurs dans les études de toxicité générale étaient faibles.
Le baricitinib n'a été ni clastogène ni mutagène.
La baricitinb n'a pas été carcinogène dans une étude de 6 mois chez des souris transgéniques rasH2 ni dans une étude de 2 ans chez le rat.
Dans les études de développement enbryofoetal chez le rat et le lapin, le barictinib s'est avéré être tératogène (malformations du squelette) et a réduit la croissance/le poids du fœtus à des doses correspondant à respectivement environ 10 et 39 fois l'exposition humaine (4 mg une fois par jour).
Le no-observed-adverse-effect level (NOAEL) pour le développement embryfoetal était de 2 mg/kg/jour chez le rat (correspondant à 2.2 fois l'exposition systémique chez l'homme avec une dose de 4 mg/jour) et de 10 mg/kg/jour chez le lapin (correspondant à 6 fois l'exposition systémique chez l'homme avec une dose de 4 mg/jour).
Dans une étude de fertilité combinée sur des rats mâles et femelles, le baricitinib a diminué les capacités d'accouplement globales (diminution des indices de fertilité et de conception). Chez les rats femelles, une diminution du nombre de corps jaunes et de sites d'implantation, une augmentation des pertes avant implantation et/ou d'effets indésirables sur la survie intrautérine des embryons ont été observées. Comme il n'a pas été observé d'effet sur la spermatogenèse (évaluée par histopathologie) ou sur les critères d'évaluation de la semence/du sperme