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ZANEXTRA 10 mg10 mg
2016-06-04 09:18:27 来源: 作者: 【 】 浏览:652次 评论:0

Indications thérapeutiques
Traitement de l'hypertension artérielle essentielle en substitution chez les patients dont la pression artérielle est correctement contrôlée par l'administration séparée d'énalapril 20 mg et de lercanidipine 20 mg pris simultanément.
•Hypertension artérielle essentielle
Contre-indications
Hypersensibilité aux substances actives ou aux autres excipients listés dans la rubrique Composition.
ZANEXTRA ne doit pas être pris en cas de :
·Hypersensibilité aux inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) ou aux inhibiteurs calciques de type dihydropyridines ou à l'un des excipients ;
·Antécédents d'angioedème lié à un traitement antérieur par un IEC ;
·Angioedème héréditaire ou idiopathique ;
·Au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Grossesse et allaitement) ;
·Obstacle à l'éjection du ventricule gauche, y compris sténose aortique ;
·Insuffisance cardiaque congestive non traitée ;
·Angor instable ;
·Infarctus du myocarde datant de moins d'un mois ;
·Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), patients dialysés ;
·Insuffisance hépatique sévère ;
·Association avec :
o   les inhibiteurs puissants du CYP3A4 (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions),
o   la ciclosporine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions),
o   le jus de pamplemousse (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
L'association de ZANEXTRA à des médicaments contenant de l'aliskiren est contre-indiquée chez les patients présentant un diabète ou une insuffisance rénale (DFG [Débit de Filtration Glomérulaire] < 60 ml/min/1,73 m2) (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacodynamiques).
Effets indésirables
Résumé du profil de sécurité
L'innocuité de ZANEXTRA avait été évaluée dans cinq études cliniques contrôlées, en double aveugle et dans deux phases ouvertes d'extension à long terme. Au total, 1 141 patients ont reçu du ZANEXTRA à la dose 10 mg/10 mg, 20 mg/10 mg et 20 mg/20 mg. Les effets indésirables de cette association fixe sont comparables à ceux observés lors de l'administration de l'un ou de l'autre de ses constituants. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés au cours du traitement avec ZANEXTRA sont la toux (4,03%), les étourdissements (1,67%) et les maux de tête (1,67%).
Tableau des effets indésirables
Les effets indésirables rapportés dans les études cliniques avec ZANEXTRA 10 mg/10 mg, 20 mg/10 mg et 20 mg/20 mg et pour lequel il existe un lien de causalité, sont décrits dans le tableau suivant, selon le système de classe organes MedDRA et par fréquence : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100), rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), non connus (impossibles à estimer d'après les données disponibles) :

 

Affections hématologiques et du système lymphatique
Peu fréquent : Thrombocytopénie
Rare : Diminution de l'hémoglobine
Affections du système immunitaire
Rare : Hypersensibilité
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Peu fréquent : Hyperkaliémie
Affections psychiatriques
Peu fréquent : Anxiété
Affections du système nerveux
Fréquent : Etourdissements, céphalées
Peu fréquent : Etourdissement postural
Affections de l'oreille et du labyrinthe
Peu fréquent : Vertiges
Rare : Acouphènes
Affections cardiaques
Peu fréquent : Tachycardie, palpitations
Affections vasculaires
Peu fréquent : Bouffées vasomotrices, hypotension
Rare : Défaillance circulatoire
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : Toux
Rare : Sécheresse de la gorge, douleur oro-pharayngée
Affections gastro-intestinales
Peu fréquent : Douleur abdominale, constipation, nausées
Rare : Dyspepsie, atteinte linguale, oedème des lèvres, diarrhée, sécheresse buccale, gingivite
Affections hépato-biliaires
Peu fréquent : Augmentation ALAT et ASAT
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Peu fréquent : Érythème
Rare : Angioedème, gonflement du visage, dermatite, éruption cutanée, urticaire
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Peu fréquent : Arthralgie
Affections du rein et des voies urinaires
Peu fréquent : Pollakiurie
Rare : Nycturie, polyurie
Affections du système de reproduction et du sein
Rare : Dysfonction érectile
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Peu fréquent : Asthénie, fatigue, sensation de chaleur, oedèmes périphériques  
Les effets indésirables survenus chez un seul patient sont déclarés à des fréquences rares.
Description des effets indésirables spécifiques des molécules en monothérapie
Certains effets indésirables fréquemment observés avec l'énalapril et la lercanidipine en monothérapie ont aussi été rapporté dans l'étude clinique, randomisée en double aveugle. L'incidence de ces effets indésirables est indiquée dans le tableau ci-dessous :

 

Placebo (n=113) E20 (n=111) L20 (n=113) E20/L20 (n=116)
Effets indésirables totaux 5,3% 10,8% 8,8% 8,6%
Toux 1,8% 3,6% - 1,7%
Etourdissement - 1,8% - 0,9%
Céphalée 0,9% 0,9% 1,8% 0,9%
Œdème périphérique 0,9%
 
- 1,8% -
Tachycardie - 1,8% 3,5% 0,9%
Palpitation - 0,9% 0,9% -
Bouffée vasomotrice - - 1,8% 0,9%
Eruption cutanée - 0,9% 0,9% -
Fatigue - - - 0,9% 
Autres informations sur les composants seuls
Des effets indésirables rapportés avec l'un des composants (énalapril ou lercanidipine) peuvent être observés avec ZANEXTRA, même s'ils n'ont pas été observés lors des essais cliniques ou pendant la commercialisation.
Énalapril seul
Les effets indésirables rapportés avec l'énalapril sont :
Affections hématologiques et du système lymphatique :
Peu fréquent : anémie (y compris formes aplasiques et hémolytiques).
Rare : neutropénie, diminution de l'hémoglobine, diminution de l'hématocrite, thrombopénie, agranulocytose, aplasie médullaire, pancytopénie, lymphadénopathie, maladies auto-immune.
Affections endocrines :
Inconnu : syndrome de la sécrétion inappropriée de l'hormone antidiurétique (SIADH).
Troubles du métabolisme et de la nutrition :
Peu fréquent : hypoglycémie (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Affections du système nerveux et psychiatriques :
Fréquent : céphalées, dépression.
Peu fréquent : état confusionnel, somnolence, insomnie, nervosité, paresthésies, vertiges.
Rare : cauchemars, troubles du sommeil.
Affections oculaires :
Très fréquent : vision trouble.
Affections cardio-vasculaires :
Très fréquent : étourdissements.
Fréquent : hypotension (y compris hypotension orthostatique), syncope, douleur thoracique, arythmie, angor, tachycardie.
Peu fréquent : hypotension orthostatique, palpitations, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral* probablement secondaire à une hypotension excessive chez des patients à haut risque (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Rare : syndrome de Raynaud.
* L'incidence est comparable dans les groupes placebo et groupe contrôle actif dans les essais cliniques.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Très fréquent : toux.
Fréquent : dyspnée.
Peu fréquent : rhinorrhée, douleur pharyngo-laryngée et dysphonie, bronchospasme / asthme.
Rare : infiltration pulmonaire, rhinite, alvéolite allergique / pneumonie à éosinophiles.
Affections gastro-intestinales :
Très fréquent : nausées.
Fréquent : diarrhées, douleurs abdominales, dysgueusie.
Peu fréquent : iléus, pancréatite, vomissements, dyspepsie, constipation, anorexie, irritation gastrique, bouche sèche, ulcère gastro-duodénal.
Rare : stomatite, stomatite aphteuse, glossite.
Très rare : angioedème intestinal.
Affections hépatobiliaires :
Rare : insuffisance hépatique, hépatite cytolytique ou choléstatique, hépatite incluant la nécrose, cholestase (y compris ictère).
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Fréquent : éruption cutanée, hypersensibilité / oedème angioneurotique : angioedème du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx ont été rapportés (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Peu fréquent : hyperhydrose, prurit, urticaire, alopécie.
Rare : érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, dermatite exfoliatrice, nécrolyse épidermique toxique, pemphigus, érythrodermie.
Un cortège de symptômes, pouvant inclure un ou l'ensemble des symptômes suivants a été rapporté : fièvre, sérite, vascularite, myalgie/myosite, arthralgie/arthrite, anticorps antinucléaires (AAN) positifs, élévation de la vitesse de sédimentation érythrocytaire (VSE), éosinophilie et leucocytose. Une éruption cutanée, une photosensibilité et d'autres manifestations dermatologiques peuvent survenir.
Affections du rein et des voies urinaires :
Peu fréquent : atteinte rénale, insuffisance rénale, protéinurie.
Rare : oligurie.
Affections des organes de reproduction et du sein :
Peu fréquent : impuissance.
Rare : gynécomastie.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
Très fréquent : asthénie.
Fréquent : fatigue.
Peu fréquent : crampes musculaires, bouffées vasomotrices, acouphènes, malaise, fièvre.
Examens biologiques :
Fréquent : hyperkaliémie, augmentation de la créatinémie.
Peu fréquent : augmentation de l'urémie, hyponatrémie.
Rare : augmentation des enzymes hépatiques, augmentation de la bilirubinémie.
Lercanidipine seule
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés au cours d'essais cliniques contrôlés ont été céphalées, étourdissements, oedèmes périphériques, tachycardie, palpitations et bouffées vasomotrices, chacun de ces effets survenant chez moins de 1% des patients.
Affections du système immunitaire :
Très rare : hypersensibilité.
Affections psychiatriques :
Rare : somnolence.
Affections du système nerveux :
Peu fréquent : céphalées, étourdissements.
Affections cardiaques :
Peu fréquent : tachycardie, palpitations.
Rare : angor.
Affections vasculaires :
Peu fréquent : bouffées vasomotrices.
Très rare : syncope.
Affections gastro-intestinales :
Rare : nausées, dyspepsie, diarrhée, douleur abdominale, vomissement.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Rare : éruption cutanée.
Affections musculo-squelettiques et systémiques :
Rare : myalgie.
Affections du rein et des voies urinaires :
Rare : polyurie.
Trubles généraux et anomalies au site d'administration :
Peu fréquent : oedèmes périphériques.
Rare : asthénie, fatigue.
Depuis la commercialisation du médicament, les effets indésirables suivants ont été rapportés très rarement (<1/10 000) : hypertrophie gingivale, augmentations réversibles des concentrations sériques des transaminases hépatiques, hypotension, pollakiurie et douleur thoracique.
Certaines dihydropyridines peuvent, dans de rares cas, provoquer des douleurs précordiales ou un angor. Dans de très rares cas, des patients ayant un angor préexistant peuvent subir une augmentation de la fréquence, de la durée ou de la gravité des crises angineuses.
Dans des cas isolés, un infarctus du myocarde peut survenir.
La lercanidipine ne parait pas modifier le bilan glycémique ou lipidique.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr.
 •Thrombocytopénie
•Diminution de l'hémoglobine
•Hypersensibilité
•Hyperkaliémie
•Anxiété
•Etourdissement
•Céphalée
•Etourdissement postural
•Vertige
•Acouphène
•Tachycardie
•Palpitation
•Bouffées vasomotrices
•Hypotension
•Défaillance circulatoire aiguë
•Toux
•Sécheresse de la gorge
•Douleur oropharyngée
•Douleur abdominale
•Dyspepsie
•Oedème des lèvres
•Affection linguale
•Diarrhée
•Sécheresse buccale
•Gingivite
•Constipation
•Nausée
•ALAT augmentées
•ASAT augmentées
•Erythème cutané
•Angioedème
•Gonflement du visage
•Dermatite
•Eruption cutanée
•Urticaire
•Arthralgie
•Pollakiurie
•Nycturie
•Polyurie
•Dysfonction érectile
•Asthénie
•Fatigue
•Sensation de chaleur
•Oedème périphérique
•Anémie
•Anémie aplasique
•Anémie hémolytique
•Neutropénie
•Diminution de l'hématocrite
•Agranulocytose
•Aplasie médullaire
•Pancytopénie
•Lymphadénopathie
•Maladie auto-immune
•SIADH
•Hypoglycémie
•Dépression
•Etat confusionnel
•Somnolence
•Insomnie
•Nervosité
•Paresthésie
•Cauchemars
•Trouble du sommeil
•Vision trouble
•Hypotension orthostatique
•Syncope
•Douleur thoracique
•Arythmie
•Angor
•Infarctus du myocarde
•Accident vasculaire cérébral
•Syndrome de Raynaud
•Dyspnée
•Rhinorrhée
•Douleur pharyngolaryngée
•Dysphonie
•Bronchospasme
•Asthme
•Infiltration pulmonaire
•Rhinite
•Alvéolite allergique
•Pneumonie à éosinophiles
•Dysgueusie
•Iléus
•Pancréatite
•Vomissement
•Anorexie
•Irritation gastrique
•Ulcère gastroduodénal
•Stomatite
•Stomatite aphteuse
•Glossite
•Angioedème intestinal
•Insuffisance hépatique
•Hépatite cytolytique
•Hépatite cholestatique
•Hépatite
•Nécrose hépatique
•Cholestase
•Ictère
•Oedème des extrémités
•Oedème de la langue
•Oedème de la glotte
•Oedème du larynx
•Hyperhidrose
•Prurit cutané
•Alopécie
•Erythème polymorphe
•Syndrome de Stevens-Johnson
•Dermatite exfoliatrice
•Nécrolyse épidermique toxique
•Pemphigus
•Erythrodermie
•Fièvre
•Sérite
•Vascularite
•Myalgie
•Myosite
•Arthrite
•Anticorps antinucléaires positifs
•Elévation de la vitesse de sédimentation
•Eosinophilie
•Atteinte rénale
•Insuffisance rénale
•Protéinurie
•Oligurie
•Impuissance
•Gynécomastie
•Crampe musculaire
•Malaise
•Augmentation de la kaliémie
•Augmentation de la créatinémie
•Augmentation de l'urémie
•Hyponatrémie
•Augmentation des enzymes hépatiques
•Augmentation de la bilirubinémie
•Hypertrophie gingivale
•Augmentation des taux de transaminases
•Douleur précordiale
•Aggravation de l'angor
Grossesse et allaitement
Grossesse
Pour l'énalapril
L'utilisation des IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). L'utilisation des IEC (énalapril) est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi).
Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire, un traitement alternatif sera débuté.
L'exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d'ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (voir rubrique Données de sécurité précliniques). Un oligohydramnios maternel, signe probable d'une fonction rénale diminuée, a été signalé et peut entraîner des contractures des membres, des déformations crânio-faciales et une hypoplasie pulmonaire.  En cas d'exposition à un IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d'effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi).
Pour la lercanidipine
Les études chez l'animal effectuées sur la lercanidipine n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes, mais ceux-ci ont été observés avec d'autres composés de type dihydropyridine.
Aucune donnée clinique sur des grossesses exposées à la lercanidipine n'est disponible. Par conséquent, son utilisation n'est pas recommandée au cours de la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer, en l'absence de contraception efficace.
Pour l'association de l'énalapril et de la lercanidipine
Il n'y a pas ou peu de données sur l'utilisation du maléate d'énalapril/ lercanidipine chez la femme enceinte. Les études animales sur la toxicité de la reproduction sont insuffisantes (voir rubrique Données de sécurité précliniques.).
Par conséquent, l'utilisation de ZANEXTRA est contre-indiquée durant le 2ème et 3ème trimestres de la grossesse et elle est déconseillée au cours du 1er trimestre de la grossesse et chez les femmes en âge de procréer, en l'absence d'une méthode contraceptive efficace.
Allaitement
Pour l'énalapril
Des données pharmacocinétiques limitées montrent de très faibles concentrations dans le lait (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Bien que ces concentrations ne semblent pas avoir de réelles conséquences cliniques, l'administration de ZANEXTRA est déconseillée chez les femmes qui allaitent des enfants prématurés et au cours des premières semaines qui suivent l'accouchement, en raison du risque potentiel d'effets secondaires cardiovasculaires et rénaux chez l'enfant et de l'expérience clinique insuffisante.
Dans le cas de l'allaitement d'un enfant plus âgé, l'administration de ZANEXTRA peut être envisagée, si ce traitement est nécessaire pour la mère et que l'enfant est surveillé dans le but de détecter d'éventuels effets secondaires.
Pour la lercanidipine
L'excrétion de la lercanidipine dans le lait maternel est inconnue.
Pour l'association de l'énalapril et de la lercanidipine
En conséquence, l'utilisation de ZANEXTRA est déconseillée pendant l'allaitement.
Fertilité
Les inhibiteurs calciques ont été associés à des modifications biochimiques réversibles dans la région céphalique des spermatozoïdes, ce qui peut nuire à la fertilité. En cas d'échecs répétés de fécondations in vitro, et en l'absence d'une autre explication, la possibilité que les inhibiteurs calciques soient à l'origine de ces échecs doit être envisagée.
Posologie et mode d'administration
Posologie
La posologie usuelle recommandée est d'un comprimé par jour à prendre au moins 15 minutes avant le repas.
Chez les sujets âgés :
La posologie doit être adaptée à la fonction rénale du patient (voir « Utilisation en cas d'insuffisance rénale »).
Utilisation en cas d'insuffisance rénale :
ZANEXTRA est contre-indiqué chez les patients atteints d'une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) ou chez les patients sous hémodialyse (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi). Le traitement doit être initié avec une prudence particulière chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée.
Utilisation en cas d'insuffisance hépatique :
ZANEXTRA est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère. Le traitement doit être initié avec une prudence particulière chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée.
Population pédiatrique :
Dans cette indication, l'utilisation de ZANEXTRA dans la population pédiatrique n'est pas recommandée.
Mode d'administration
Précautions à prendre avant l'administration de ce médicament :
·le traitement doit être administré de préférence le matin au moins 15 min avant le petit déjeuner,
·ce médicament ne doit pas être administré avec du jus de pamplemousse (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). 
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