设为首页 加入收藏

TOP

URBANYL 20 mg Comprimé Boîte de 30
2015-01-15 16:12:51 来源: 作者: 【 】 浏览:806次 评论:0

URBANYL : ses indications

- En association à un autre traitement anti-épileptique, chez l'adulte et chez l'enfant :

. traitement des épilepsies généralisées : crises cloniques, toniques, tonico-cloniques, absences, crises myocloniques, atoniques, spasmes infantiles et syndrome de Lennox-Gastaut,

. traitement des épilepsies partielles : crises partielles avec ou sans généralisation secondaire.

- Chez l'adulte :

. traitement symptomatique des manifestations anxieuses sévères et/ou invalidantes,

. prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations du sevrage alcoolique.
 

URBANYL : pathologies pour lesquelles il peut-être prescrit

Crise épileptique clonique Crise épileptique tonique
Crise épileptique tonico-clonique Crise épileptique myoclonique
Crise épileptique atonique Absence épileptique
Spasme infantile Syndrome de Lennox-Gastaut
Epilepsie partielle Crise épileptique partielle avec ou sans généralisation secondaire
Manifestation anxieuse sévère et/ou invalidante Delirium tremens et autres manifestations du sevrage alcoolique
Classe thérapeutique Neurologie-psychiatrieNeurologie-psychiatrie
Principes actifs Clobazam
Excipients Silice (E551),Amidon de maïs,Lactose,Magnésium stéarate (E572),Talc (E553b)
Statut Médicament soumis à prescription médicale
 
Tx de remboursement SS 65 %
Laboratoire Sanofi-Aventis France
 

URBANYL : sa posologie

Le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans (risque de fausse route).

MANIFESTATIONS ANXIEUSES ET SEVRAGE ALCOOLIQUE :

- Dose :

Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plus faible et la dose maximale ne sera pas dépassée.

- Chez les malades ambulatoires régulièrement suivis en consultation : 40 à 60 mg par jour.

- Chez les malades présentant une anxiété dont la gravité a nécessité l'hospitalisation, il est quelquefois nécessaire d'augmenter les posologies de 80 à 120 mg par jour.

. Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal ou hépatique : il est recommandé de diminuer la posologie, de moitié par exemple.

- Durée :

. Le traitement doit être aussi bref que possible. L'indication sera réévaluée régulièrement surtout en l'absence de symptômes. La durée globale du traitement ne devrait pas excéder 8 à 12 semaines pour la majorité des patients, y compris la période de réduction de la posologie (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).

Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitement au-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises et répétées de l'état du patient.

. Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations du sevrage alcoolique : traitement bref de l'ordre de 8 à 10 jours.

EPILEPSIE :

Dose :

- Dans le traitement de l'épilepsie, la posologie du clobazam doit être adaptée à chaque cas :

. en moyenne chez l'adulte : 0,5 mg/kg/jour,

. en moyenne chez l'enfant : 1 mg/kg/jour.

- Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal ou hépatique : il est recommandé de diminuer la posologie, de moitié par exemple.
 

URBANYL : son aspect et forme

Comprimé blanc.
 

URBANYL : comment ça marche

ANXIOLYTIQUES.

Code ATC : N05BA.

(N : système nerveux central).

- Le clobazam appartient à la classe des 1-5 benzodiazépines et a une activité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autres composés de cette classe :

. myorelaxante,

. anxiolytique,

. sédative,

. hypnotique,

. anticonvulsivante,

. amnésiante.

- Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteur central faisant partie du complexe "récepteurs macromoléculaires GABA-OMEGA", également appelés BZ1 et BZ2 et modulant l'ouverture du canal chlore.
 

Conduite à tenir pour les conducteurs de véhicules

- Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence.

- L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines (voir rubrique interactions).

- Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru.
 

URBANYL : ses contre-indications

CONTRE-INDIQUE :

- Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situations suivantes :

. hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants,

. insuffisance respiratoire sévère,

. syndrome d'apnée du sommeil,

. insuffisance hépatique sévère, aiguë et chronique (risque de survenue d'une encéphalopathie),

. myasthénie.

- Le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans (risque de fausse route).

- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.

DECONSEILLE :

- Allaitement : l'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée.

- Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
 

URBANYL : ses précautions d'emploi

MISES EN GARDE :

- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.

- L'introduction d'un médicament anti-épileptique peut, rarement, être suivie d'une recrudescence des crises ou de l'apparition d'un nouveau type de crise chez le patient, et ce indépendamment des fluctuations observées dans certaines maladies épileptiques. En ce qui concerne les benzodiazépines, les causes de ces aggravations peuvent être : un choix de médicament mal approprié vis-à-vis des crises ou du syndrome épileptique du patient, une modification du traitement anti-épileptique concomitant ou une interaction pharmacocinétique avec celui-ci, une toxicité ou un surdosage. Il peut ne pas y avoir d'autre explication qu'une réaction paradoxale.

- TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE :

L'effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines.

- DEPENDANCE :

Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.

Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

. durée du traitement,

. dose,

. antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.

Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.

Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage.

Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.

D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.

Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement.

Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises. Cela n'est pas attendu avec le clobazam, compte tenu de sa longue demi-vie (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).

L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance.

Des cas d'abus ont également été rapportés.

- PHENOMENE DE REBOND :

Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.

- AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES :

Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise.

- TROUBLES DU COMPORTEMENT :

Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :

Peuvent être observés :

. aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité,

. idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique,

. désinhibition avec impulsivité,

. euphorie, irritabilité,

. amnésie antérograde,

. suggestibilité.

Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :

. comportement inhabituel pour le patient,

. comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient,

. conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.

Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.

- RISQUE D'ACCUMULATION :

Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).

Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament.

Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique posologie et mode d'administration).

- SUJET AGE :

Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d'effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population.

PRECAUTIONS D'EMPLOI :

- La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolisme ou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique interactions).

- CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR :

Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.

- MODALITES D'ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT :

Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.

Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin de minimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.

Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.

- ENFANT :

Plus encore que chez l'adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible.

- SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU HEPATIQUE :

Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir rubrique mises en garde).

- INSUFFISANT RESPIRATOIRE :

Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété et l'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).

- Grossesse : à ce jour, aucun effet malformatif n'est attribué à l'exposition aux benzodiazépines au cours du 1er trimestre de la grossesse. En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3ème trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et de la variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits. Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néonatal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue. Compte tenu de ces données, l'utilisation de clobazam est envisageable au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme, dans le strict respect des indications et des posologies. En fin de grossesse, s'il s'avère nécessaire d'instaurer un traitement par clobazam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.
 

URBANYL : Ses interactions

ASSOCIATION DECONSEILLEE :

Alcool :

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines et apparentés. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :

- Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution autres que buprénorphine) ; neuroleptiques ; barbituriques ; autres anxiolytiques ; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide ; pizotifène.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

De plus, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), barbituriques : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

- Buprénorphine :

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.

eva luer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.

- Stiripentol :

Augmentation des concentrations plasmatiques de clobazam, avec risque de surdosage, par inhibition de son métabolisme hépatique.

Surveillance clinique, dosage plasmatique de la benzodiazépine et adaptation éventuelle de sa posologie.
 

URBANYL : Ses incompatibilités

Sans objet.


 

En cas de surdosage

- Le pronostic vital peut être menacé, notamment dans les cas de poly-intoxication impliquant d'autres dépresseurs du système nerveux central (y compris l'alcool).

- En cas de prise massive, les signes de surdosage se manifestent principalement par une dépression du SNC pouvant aller de la somnolence jusqu'au coma, selon la quantité ingérée.

Les cas bénins se manifestent par des signes de confusion mentale, une léthargie.

Les cas plus sérieux se manifestent par une ataxie, une hypotonie, une hypotension, une dépression respiratoire, exceptionnellement un décès.

- En cas de surdosage oral antérieur à 1 heure, l'induction de vomissement sera pratiquée si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastrique avec protection des voies aériennes. Passé ce délai, l'administration de charbon activé peut permettre de réduire l'absorption.

Une surveillance particulière des fonctions cardiorespiratoires en milieu spécialisé est recommandée.

- L'administration de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement d'un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines.

- L'antagonisme par le flumazénil de l'effet des benzodiazépines peut favoriser l'apparition de troubles neurologiques (convulsions), notamment chez le patient épileptique.
 

Grossesse - Allaitement

Grossesse :

A ce jour, aucun effet malformatif n'est attribué à l'exposition aux benzodiazépines au cours du 1er trimestre de la grossesse.

En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3ème trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et de la variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits.

Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néonatal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue.

Compte tenu de ces données, l'utilisation de clobazam est envisageable au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme, dans le strict respect des indications et des posologies.

En fin de grossesse, s'il s'avère nécessaire d'instaurer un traitement par clobazam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.

Allaitement :

L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée.


 

URBANYL : ses effets indésirables

Ils sont en rapport avec la dose ingérée, la sensibilité individuelle du patient.

- Effets indésirables neuropsychiatriques (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi) :

. amnésie antérograde, qui peut survenir aux doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose,

. troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité, agressivité, agitation,

. dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement,

. sensations ébrieuses, céphalées, ataxie,

. confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez le sujet âgé), insomnie, cauchemars, tension,

. modifications de la libido.

- Effets indésirables cutanés :

éruptions cutanées, prurigineuses ou non.

- Effets indésirables généraux :

hypotonie musculaire, asthénie.

- Effets indésirables oculaires :

diplopie.
 
以下是“全球医药”详细资料
Tags: 责任编辑:admin
】【打印繁体】【投稿】【收藏】 【推荐】【举报】【评论】 【关闭】 【返回顶部
分享到QQ空间
分享到: 
上一篇CUBICIN 350 mg Poudre pour solu.. 下一篇氯巴占片 URBANYL 10 mg (clobaza..

相关栏目

最新文章

图片主题

热门文章

推荐文章

相关文章

广告位