39;éruption cutanée sévère, ou d'éruption cutanée d'intensité légère à modérée associée à des symptômes systémiques ou à une atteinte muqueuse (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Anomalies biologiques : Des anomalies biologiques (grade 3 ou 4), potentiellement liées au traitement par l'association fosamprénavir / ritonavir et rapportées chez ≥1 % des patients adultes, ont comporté : augmentation des ALAT (Fréquent), des ASAT (Fréquent), de la lipase sérique (Fréquent) et des triglycérides (Très fréquent). Des élévations du cholestérol total (grade 3 ou 4) ont été observées chez moins de 1 % des patients adultes (APV30002 : < 1 % ; APV30003 : 0 %).
Lipodystrophie : Les traitements par association d'antirétroviraux ont été associés, chez les patients infectés par le VIH, à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie), incluant une perte du tissu adipeux sous-cutané périphérique et facial, une augmentation de la masse grasse intra-abdominale et viscérale, une hypertrophie mammaire et une accumulation de la masse grasse au niveau retro-cervicale (bosse de bison) – (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Anomalies métaboliques : Les traitements par association d'antirétroviraux ont été associés à des anomalies métaboliques telles que : hypertriglycéridémie, hypercholestérolémie, résistance à l'insuline, hyperglycémie et hyperlactatémie (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Hyperglycémie : Des cas de survenue de diabète sucré, d'hyperglycémie ou d'aggravation de diabète sucré préexistant ont été rapportés chez des patients traités par inhibiteurs de protéase (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Rhabdomyolyse : Une élévation des CPK, des myalgies, des myosites et, rarement, des rhabdomyolyses, ont été rapportées avec les inhibiteurs de protéase, particulièrement en association avec les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse.
Patients hémophiles : Des cas d'augmentation des saignements spontanés ont été signalés chez des patients hémophiles traités par inhibiteurs de protéase (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Syndrome de Restauration Immunitaire : Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par une association d'antirétroviraux, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asym