cute;tait co-administrée à la phénytoïne (300 mg une fois par jour). L'ASC, la Cmax et la Cmin de la phénytoïne étaient diminuées respectivement de 22 %, 20 % et 29 %. Par conséquent, en cas d'association de fosamprénavir + ritonavir et de phénytoïne, le schéma posologique de l'association fosamprénavir + ritonavir ne nécessite aucun ajustement. Toutefois, il est recommandé de surveiller les concentrations plasmatiques de la phénytoïne, et d'augmenter si nécessaire les doses de phénytoïne.
L'administration concomitante d'autres agents anti-convulsivants connus pour être des inducteurs enzymatiques (exemple : phénobarbital, carbamazépine) n'a pas été étudiée, mais peut entraîner une diminution des concentrations plasmatiques d'amprénavir. Ces associations devront être utilisées avec prudence.
Médicaments dont les concentrations plasmatiques peuvent être augmentées en cas de co-administration avec Telzir
Autres médicaments avec index thérapeutique étroit : La co-administration de certaines substances (ex : lidocaïne (par voie systémique) et halofantrine) avec Telzir peut entraîner des effets indésirables sévères. L'administration concomitante de ces substances n'est pas recommandée.
Médicaments utilisés dans les troubles de l'érection : L'administration concomitante de ces médicaments et de Telzir n'est pas recommandée. Compte tenu des données disponibles avec le ritonavir et les autres inhibiteurs de protéase, les concentrations plasmatiques des inhibiteurs de PDE5 (ex : sildénafil et vardénafil) peuvent considérablement augmenter en cas de co-administration avec Telzir et ritonavir, entraînant ainsi une augmentation du risque d'effets secondaires associés à l'inhibiteur de PDE5 : hypotension, troubles visuels et priapisme.
Propionate de fluticasone (interaction avec le ritonavir) : Dans une étude clinique conduite chez des sujets sains au cours de laquelle le ritonavir sous forme de capsules a été administré à la posologie de 100 mg deux fois par jour en association avec 50 µg de propionate de fluticasone par voie nasale (4 fois par jour) pendant sept jours, les taux plasmatiques de propionate de fluticasone ont augmenté significativement alors que les concentrations de cortisol endogène ont diminué d'environ 86 % (intervalle de confiance à 90 % : 82 à 89 %). Des effets plus importants sont attendus lorsque le propionate de fluticasone est inhalé. Des effets systémiques liés à la corticothérapie tels qu'un syndrome de Cushing ou une inhibition de la fonction surrénalienne ont été rapportés chez des patients recevant le ritonavir associé au propionate de fluticasone inhalé ou administré par voie nasale ; ces effets pourraient également survenir avec d'autres corticostéroïdes m