设为首页 加入收藏

TOP

Remicade 100 mg, poudre pour solution à diluer pour perfusio
2013-11-01 11:26:21 来源: 作者: 【 】 浏览:544次 评论:0

Drug Description
Chaque flacon contient 100 mg d’infliximab. L’infliximab est un anticorps monoclonal chimérique humain/murin de type IgG1 produit par la technologie de l’ADN recombinant. Après reconstitution chaque ml contient 10 mg d’infliximab.

Presentation
Poudre pour solution à diluer pour perfusion.La poudre est un granulé blanc lyophilisé

Indications
Polyarthrite rhumatoïde :Remicade, en association avec le méthotrexate, est indiqué pour :la réduction des signes et symptômes mais aussi l’amélioration des capacités fonctionnelles chez : les patients ayant une maladie active lorsque la réponse aux traitements de fond antirhumatismaux (DMARDs), dont le méthotrexate, a été inappropriée.les patients ayant une maladie active, sévère et évolutive, non traitée auparavant par le méthotrexate ni les autres DMARDs.Dans ces populations de patients, un ralentissement de la destruction articulaire, mesuré par radiographie, a été démontré.Maladie de Crohn chez l’adulte :Remicade est indiqué dans :le traitement de la maladie de Crohn active, sévère, chez les patients qui n’ont pas répondu malgré un traitement approprié et bien conduit par un corticoïde et/ou un immunosuppresseur ; ou chez lesquels ce traitement est contre-indiqué ou mal toléré.le traitement de la maladie de Crohn active fistulisée, chez les patients qui n’ont pas répondu malgré un traitement conventionnel approprié et bien conduit (comprenant antibiotiques, drainage et thérapie immunosuppressive).Maladie de Crohn chez l’enfant :Remicade est indiqué dans :Le traitement de la maladie de Crohn active, sévère, chez les enfants âgés de 6 à 17 ans, qui n’ont pas répondu à un traitement conventionnel comprenant un corticoïde, un immunomodulateur et un traitement nutritionnel de première intention ; ou chez lesquels ces traitements sont mal tolérés ou contre-indiqués. Remicade a été étudié uniquement en association avec un traitement conventionnel immunosuppresseur.Rectocolite hémorragique :Remicade est indiqué dans :le traitement de la rectocolite hémorragique active, modérée à sévère chez les patients qui n’ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel comprenant les corticoïdes et la 6-mercaptopurine ou l’azathioprine, ou chez lesquels ce traitement est mal toléré ou contre-indiqué.Spondylarthrite ankylosante :Remicade est indiqué dans :le traitement de la spondylarthrite ankylosante active, sévère, chez les adultes qui n’ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel.Rhumatisme psoriasique :Remicade est indiqué dans :le traitement du rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez les adultes quand la réponse à un précédent traitement avec les DMARDs a été inadéquate.Remicade doit être administré- en association avec le méthotrexate- ou seul chez les patients qui ont montré une intolérance au méthotrexate ou chez lesquels le méthotrexate est contre-indiquéIl a été démontré que Remicade améliorait la fonction physique chez les patients atteints de rhumatisme psoriasique, et ralentissait l’évolution de l’arthrite périphérique à la radiographie chez les patients présentant des formes polyarticulaires symétriques de la maladiePsoriasis :Remicade est indiqué dans :le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère de l’adulte en cas d’échec, ou de contre-indication, ou d’intolérance aux autres traitements systémiques y compris la ciclosporine, le méthotrexate ou la puvathérapie.

Adult Dosage
Remicade doit être initié sous le contrôle de médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, des maladies inflammatoires de l’intestin, de la spondylarthrite ankylosante, du rhumatisme psoriasique ou du psoriasis. Les perfusions de Remicade doivent être administrées par des professionnels de santé qualifiés exercés à détecter toute complication liée aux perfusions. Les patients traités par Remicade devront recevoir la notice ainsi que la carte de signalement.Remicade est indiqué pour une utilisation par voie intraveineuse chez l’adulte (≥ 18 ans) dans toutes ses indications approuvées et chez les enfants âgés de 6 à 17 ans, atteints de maladie de Crohn.En raison de l’insuffisance de données de tolérance et d’efficacité, Remicade n’est recommandé dans aucune autre indication pédiatrique.La durée de perfusion recommandée pour les patients dans chacune des indications est décrite ci-dessous dans les indications respectives. Tous les patients recevant Remicade doivent être maintenus en observation pendant au moins 1-2 heures après la perfusion en raison du risque de réactions aiguës liées à la perfusion. Un équipement d’urgence, tel qu’adrénaline, antihistaminiques, corticoïdes ainsi qu’une assistance respiratoire doivent être disponibles. Les patients peuvent être préalablement traités avec, par exemple, un antihistaminique, de l’hydrocortisone et/ou du paracétamol et la vitesse de perfusion peut être ralentie afin de diminuer les risques de réactions liées à la perfusion surtout s’il y a déjà eu des antécédents.Pendant le traitement par Remicade, les autres traitements concomitants tels que les corticoïdes et les immunosuppresseurs devront être optimisés.Chez les adultes (≥ 18 ans)Polyarthrite rhumatoïdeChez les patients non traités auparavant par Remicade : 3 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures suivis par des perfusions supplémentaires de 3 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 8 semaines.Chez certains patients soigneusement sélectionnés, atteints de polyarthrite rhumatoïde, qui ont toléré 3 perfusions initiales de 2 heures de Remicade, l’administration des perfusions suivantes sur une durée qui ne doit pas être inférieure à 1 heure peut être considérée. Les perfusions plus courtes aux doses > 6 mg/kg n’ont pas été étudiées.Remicade doit être administré en association avec le méthotrexate.Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 semaines de traitement. Si un patient obtient une réponse inadéquate ou ne répond plus après cette période, une augmentation de la dose par paliers d’environ 1,5 mg/kg peut être considérée, jusqu’à un maximum de 7,5 mg/kg toutes les 8 semaines. Alternativement, une administration de 3 mg/kg aussi souvent que toutes les 4 semaines peut être envisagée. Si une réponse adéquate est obtenue, les patients doivent être maintenus à la dose ou à la fréquence d’administration sélectionnées. La poursuite de ce traitement doit être attentivement reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n’a été démontré au cours des 12 premières semaines du traitement ou après un ajustement de la dose.Maladie de Crohn active, sévère5 mg/kg administrés par perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures, suivis d’une perfusion supplémentaire de 5 mg/kg 2 semaines après la première perfusion. Si un patient ne répond pas après 2 doses, aucun traitement supplémentaire par infliximab ne doit être administré. Les données disponibles ne permettent pas de poursuivre le traitement sous infliximab chez les patients non répondeurs dans les 6 semaines suivant la perfusion initiale.Chez les patients répondeurs, les stratégies alternatives pour la poursuite du traitement sont :Traitement d’entretien : une perfusion supplémentaire de 5 mg/kg à la semaine 6 après la dose initiale, suivie de perfusions toutes les 8 semaines ouRé-administration : une perfusion de 5 mg/kg si les signes et symptômes de la maladie réapparaissent (voir « Ré-administration » .Bien qu’il manque des données comparatives, des données limitées obtenues auprès de patients ayant initialement répondu à 5 mg/kg, mais dont la réponse a ensuite été perdue, indiquent que certains patients peuvent retrouver une réponse après augmentation de la dose. La poursuite du traitement doit être sérieusement remise en cause chez les patients ne montrant aucun signe de bénéfice thérapeutique après ajustement de la dose.Maladie de Crohn active fistulisée5 mg/kg administrés par perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures suivis de perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion. Si le patient ne répond pas après 3 doses, aucun traitement supplémentaire par infliximab ne doit être administré.Chez les patients répondeurs, les stratégies alternatives pour la poursuite du traitement sont :Traitement d’entretien : perfusions supplémentaires de 5 mg/kg toutes les 8 semaines ouRé-administration : perfusion de 5 mg/kg si les signes et symptômes de la maladie réapparaissent, suivie par des perfusions de 5 mg/kg toutes les 8 semaines (voir « Ré-administration.Bien qu’il manque des données comparatives, des données limitées obtenues auprès de patients ayant initialement répondu à 5 mg/kg, mais dont la réponse a ensuite été perdue, indiquent que certains patients peuvent retrouver une réponse après augmentation de la dose. La poursuite du traitement doit être sérieusement remise en cause chez les patients ne montrant aucun signe de bénéfice thérapeutique après ajustement de la dose.Dans la maladie de Crohn, l’expérience de la ré-administration en cas de réapparition des signes et symptômes de la maladie est limitée et les données comparatives sur le rapport bénéfice/risque des stratégies alternatives pour la poursuite du traitement sont insuffisantes.Rectocolite hémorragique5 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures suivis par des perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 8 semaines.Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 14 semaines de traitement, i.e. après trois doses. La poursuite de ce traitement doit être attentivement reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n’a été démontré au cours de cet intervalle de temps.Spondylarthrite ankylosante5 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures suivis par des perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 6 à 8 semaines. Si un patient ne répond pas à la semaine 6 (i.e. après 2 doses), aucun traitement supplémentaire par infliximab ne doit être administré.Rhumatisme psoriasique5 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures, suivis par des perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 8 semaines.Psoriasis5 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures, suivis par des perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 8 semaines. Si un patient ne répond pas après la semaine 14 (i.e. après 4 doses), aucun traitement supplémentaire par infliximab ne doit être administré.Ré-administration pour la maladie de Crohn et la polyarthrite rhumatoïdeSi les signes et symptômes de la maladie réapparaissent, Remicade peut être ré-administré dans les 16 semaines suivant la dernière perfusion. Lors des études cliniques, les réactions d’hypersensibilité retardée ont été peu fréquentes et sont survenues après des intervalles sans Remicade de moins de 1 an. La sécurité et l’efficacité de la ré-administration après un intervalle sans Remicade de plus de 16 semaines n’ont pas été établies. Cela s’applique à la fois chez les patients atteints de la maladie de Crohn et chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde.Ré-administration pour la rectocolite hémorragiqueLa tolérance et l’efficacité de la ré-administration, autre que toutes les 8 semaines, ne sont pas établies.Ré-administration pour la spondylarthrite ankylosanteLa tolérance et l’efficacité de la ré-administration, autre que toutes les 6 à 8 semaines, ne sont pas établies.Ré-administration pour le rhumatisme psoriasiqueLa tolérance et l’efficacité de la ré-administration, en dehors du schéma posologique toutes les 8 semaines, ne sont pas établies.Ré-administration pour le psoriasisL’expérience limitée du re-traitement du psoriasis par une seule dose de Remicade après un intervalle de 20 semaines suggère une efficacité réduite et une incidence plus élevée de réactions à la perfusion légères à modérées en comparaison à un régime initial d’induction.Pour la population pédiatriqueMaladie de Crohn (6 à 17 ans)5 mg/kg administrés en perfusion intraveineuse d’une durée de 2 heures suivis par des perfusions supplémentaires de 5 mg/kg aux semaines 2 et 6 après la première perfusion, puis ensuite toutes les 8 semaines. Alors que pour certains patients, un intervalle d’administration plus court peut être nécessaire afin de maintenir le bénéfice clinique, pour d’autres, un intervalle de dose plus long semble suffisant. Les données disponibles ne permettent pas de continuer le traitement par infliximab chez les enfants qui n’auront pas répondu dans les 10 premières semaines de traitement.

Contra Indications
Patients atteints de tuberculose ou d’autres infections sévères telles que sepsis, abcès, et infections opportunistes.Patients atteints d’insuffisance cardiaque modérée ou sévère (de classe III/IV dans la classification NYHA).Patients ayant des antécédents d’hypersensibilité à l’infliximab, aux autres protéines murines, ou à l’un des excipients

Special Precautions
Réactions liées à la perfusion et hypersensibilitéL’infliximab a été associé à des réactions aiguës liées à la perfusion, comprenant des chocs anaphylactiques et des réactions d’hypersensibilité retardée.Des réactions aiguës liées à la perfusion dont des réactions anaphylactiques peuvent survenir au moment (dès les premières secondes) de la perfusion ou au cours des quelques heures suivant le début de la perfusion. Lorsque ces réactions aiguës liées à la perfusion surviennent, la perfusion doit être interrompue immédiatement. Un équipement d’urgence, tel qu’adrénaline, antihistaminiques, corticoïdes ainsi qu’une assistance respiratoire doivent être disponibles. Les patients peuvent être préalablement traités avec, par exemple, un antihistaminique, de l’hydrocortisone et/ou du paracétamol afin de prévenir la survenue d’effets indésirables légers et transitoires.Des anticorps anti-infliximab peuvent se développer et ont été associés à une augmentation de la fréquence des réactions liées à la perfusion. Une faible proportion de ces réactions liées à la perfusion était de graves réactions allergiques. Une relation entre le développement d’anticorps anti-infliximab et la diminution de la durée de réponse a été également observée. L’administration concomitante d’immunosuppresseurs a été associée à une plus faible incidence des anticorps anti-infliximab et à une réduction de la fréquence des réactions liées à la perfusion. L’effet d’une thérapie concomitante avec les immunosuppresseurs était plus marqué chez les patients traités à la demande que chez les patients sous traitement d’entretien. Les patients qui arrêtent les immunosuppresseurs avant ou pendant le traitement par Remicade ont un risque plus élevé de développer ces anticorps. Les anticorps anti-infliximab ne peuvent pas toujours être détectés par une prise de sang. Si des réactions graves surviennent, un traitement symptomatique doit être donné et Remicade ne doit pas être ré-administréLors des études cliniques, des réactions d’hypersensibilité retardée ont été rapportées. Les données disponibles suggèrent un risque accru d’hypersensibilité retardée avec un allongement de l’intervalle sans Remicade. Les patients doivent être informés de la nécessité de demander immédiatement un avis médical en cas de survenue de tout effet indésirable retardé. Si après une longue période sans traitement par infliximab, des patients sont retraités, ils doivent être étroitement surveillés vis-à-vis des signes et symptômes d’une réaction d’hypersensibilité retardée.InfectionsLes patients doivent faire l’objet d’une surveillance attentive au regard des infections y compris la tuberculose avant, pendant et après le traitement par Remicade. L’élimination de l’infliximab pouvant prendre jusqu’à 6 mois, la surveillance doit être maintenue pendant toute cette période. Remicade ne doit pas être ré-administré si le patient développe une infection sévère ou un sepsisDes précautions doivent être prises lorsque l’utilisation de Remicade est envisagée chez les patients ayant une infection chronique, des antécédents d’infections récurrentes, ou en cas de traitement immunosuppresseur concomitant. Les patients doivent être avertis du risque infectieux et éviter l’exposition à tout facteur de risque potentiel d’infection.Le facteur alpha de nécrose tumorale (TNFα) médie l’inflammation et module les réponses immunitaires à médiation cellulaire. Les données expérimentales montrent que le TNFα est essentiel pour lutter contre les infections intracellulaires. L’expérience clinique a montré que les défenses de l’hôte contre l’infection sont altérées chez certains patients traités par infliximab.Il doit être souligné que la suppression du TNFα peut masquer les symptômes d’une infection, tels que la fièvre. Une reconnaissance précoce de tableaux cliniques atypiques d’infections graves est importante dans le but de réduire les délais dans le diagnostic et le traitement.Les patients traités par anti-TNF sont plus exposés à des infections sévères.Tuberculose, infections bactériennes, y compris sepsis et pneumonie, infections fongiques invasives, et autres infections opportunistes ont été observées chez des patients traités par infliximab. Certaines de ces infections ont eu une issue fatale.Les patients qui développent une nouvelle infection au cours d’un traitement par Remicade doivent être étroitement surveillés et bénéficier d’un diagnostic complet. L’administration de Remicade doit être arrêtée si un patient développe une nouvelle infection grave ou un sepsis, et un traitement antimicrobien ou antifongique approprié doit être instauré jusqu’à ce que l’infection soit contrôlée.Pour les patients qui ont séjourné ou voyagé dans des régions endémiques pour les infections fongiques invasives telles que histoplasmose, coccidiomycose ou blastomycose, le rapport bénéfice/risque du traitement par Remicade doint être soigneusement considérés avant son initiation.Des cas de tuberculose active ont été rapportés chez des patients recevant du Remicade. Il doit être noté que dans la majorité de ces cas, la tuberculose était extra-pulmonaire, se présentant soit comme une maladie locale soit une maladie disséminée.Des infections opportunistes rapportées chez des patients sous Remicade ont inclus, (sans être exhaustives), une pneumocystose, une histoplasmose, une infection à cytomégalovirus, des infections mycobactériennes atypiques, une listériose et une aspergillose.Dans les études cliniques, des infections ont été rapportées plus fréquemment chez les populations pédiatriques que chez les populations adultes.Avant de débuter un traitement par Remicade, une tuberculose active ou inactive (« latente ») doit être recherchée chez tous les patients. Cette recherche doit comprendre un entretien médical détaillé précisant les antécédents personnels de tuberculose, d’éventuels contacts antérieurs avec un patient tuberculeux et les traitements immunosuppresseurs anciens et/ou en cours. Des tests appropriés, i.e. intradermo-réaction et radiographie pulmonaire devront être réalisés chez tous les patients (sans préjuger d’éventuelles recommandations locales). Il est recommandé de consigner les dates de ces examens sur la carte de signalement du patient. Il est rappelé aux prescripteurs qu’une intradermo-réaction peut s’avérer faussement négative, surtout chez un patient sévèrement malade ou immunodéprimé.Si une tuberculose active est diagnostiquée, le traitement par Remicade ne doit pas être instauré.En cas de suspicion de tuberculose latente, il est conseillé de consulter un médecin spécialisé dans le traitement de la tuberculose. Dans tous les cas décrits ci-dessous, le rapport bénéfice/risque du traitement par Remicade doit être soigneusement évalué.Si une tuberculose inactive (« latente ») est diagnostiquée, un traitement antituberculeux adapté à une tuberculose latente doit être démarré avec un antituberculeux avant d’instaurer un traitement par Remicade, en accord avec les recommandations nationales.Chez les patients qui présentent des facteurs de risque multiples ou significatifs pour la tuberculose et dont le test pour la tuberculose latente est négatif, un traitement antituberculeux doit être envisagé avant d’instaurer un traitement par Remicade.La prise d’un traitement antituberculeux doit également être envisagée avant d’instaurer un traitement par Remicade chez les patients ayant des antécédents de tuberculose latente ou active pour qui le bon déroulement du traitement ne peut pas être confirmé.Tous les patients doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin si des signes ou des symptômes évoquant une tuberculose (par exemple, toux persistante, asthénie/perte de poids, fébricule) apparaissent pendant ou après le traitement par Remicade.Le traitement par Remicade ne doit pas être instauré chez les patients présentant une maladie de Crohn avec une fistule suppurative en phase aiguë, avant que tout foyer infectieux, en particulier un abcès, n’ait été éliminé.NF, y compris du Remicade et qui étaient porteurs chroniques de ce virus. Certains cas ont été fatals. Pour les patients présentant un risque d’infection par VHB, la recherche d’une infection par VHB doit être réalisée avant d’initier un traitement par Remicade. Il faut surveiller étroitement les patients porteurs de VHB nécessitant un traitement par Remicade pour déceler les signes ou symptômes révélateurs d'une infection active de VHB tout au long du traitement par Remicade et plusieurs mois après la fin de celui-ci. Aucune donnée pertinente pour traiter les patients porteurs de VHB par un traitement anti-viral conjointement avec un anti-TNF n’est disponible afin de prévenir une réactivation du VHB. Chez les patients qui développent une réactivation du VHB, le traitement par Remicade doit être interrompu et un traitement anti-viral efficace avec un traitement supplétif approprié doit être instauré.Atteintes hépatobiliairesDe très rares cas de jaunisse et d’hépatites non-infectieuses, dont certaines ayant les caractéristiques d’une hépatite auto-immune, ont été observés depuis la commercialisation de Remicade. Des cas isolés d’insuffisance hépatique conduisant à une transplantation du foie ou décès sont survenus. La preuve d’une atteinte hépatique doit être recherchée chez les patients ayant les symptômes ou les signes d’un dysfonctionnement hépatique. Si une jaunisse et/ou une élévation des ALAT ≥ 5 fois la limite normale supérieure se développe(nt), Remicade doit être arrêté, et une investigation plus approfondie des signes anormaux doit être menée.Administration concomitante d’un agent inhibiteur du TNF-alpha et d’anakinraDes infections sévères ont été observées lors d’essais cliniques au cours desquels l’anakinra et un autre agent anti-TNFα, l’étanercept ont été administrés de façon concomitante, sans bénéfice clinique supplémentaire comparativement à l’étanercept administré seul. En raison de la nature des effets indésirables observés lors de l’association thérapeutique de l’anakinra et de l’étanercept, des toxicités similaires peuvent résulter de l’association entre l’anakinra avec un autre agent anti-TNFα. Par conséquent, l’association de Remicade et de l’anakinra n’est pas recommandée.VaccinationsAucune donnée n’est disponible sur la réponse à la vaccination avec des vaccins vivants ou sur la transmission secondaire de l’infection par des vaccins vivants chez les patients recevant un traitement par anti-TNF. Il est recommandé de ne pas administrer de vaccins vivants de façon concomitante.Il est recommandé que les enfants atteints de maladie de Crohn soient, si possible, à jour de leurs vaccinations conformément aux recommandations actuelles sur la vaccination, avant d’instaurer un traitement par Remicade.Processus auto-immunsLa relative déficience du TNFα causée par la thérapie anti-TNF peut provoquer le début d’un processus auto-immun. Si des symptômes évocateurs d'un syndrome lupique « type lupus » se développent chez un patient à la suite du traitement par Remicade et si ce patient présente des anticorps anti-ADN double-brin, un nouveau traitement par Remicade ne doit pas être administré (AAN)/anticorps anti-ADN double-brin (dbADN) »).Atteintes neurologiquesL’infliximab et les autres agents inhibiteurs du TNFα ont été associés à de rares cas de névrites optiques, de convulsions et d’une nouvelle poussée ou d’une aggravation des symptômes cliniques et/ou des preuves radiographiques d’atteintes démyélinisantes centrales, y compris sclérose en plaques, et des atteintes démyélinisantes périphériques, y compris le syndrome de Guillain-Barré. Chez les patients présentant des antécédents ou des manifestations récentes d’atteintes démyélinisantes, le rapport bénéfice/risque d’un traitement par Remicade doit être soigneusement évalué avant son initiation.Tumeurs malignes et troubles lymphoprolifératifsDans les phases contrôlées des études cliniques menées avec les anti-TNF, il a été observé plus de cas de tumeurs, notamment des lymphomes, parmi les patients ayant reçu un anti-TNF, que chez les patients du groupe contrôle. Au cours des études cliniques de Remicade couvrant toutes les indications approuvées, l’incidence des lymphomes chez les patients traités par Remicade était plus élevée que celle attendue dans la population générale, mais la fréquence des lymphomes était rare. De plus, il existe un risque accru de développer un lymphome chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde de longue date, hautement active et inflammatoire, ce qui complique l'évaluation du risque.Dans une étude clinique exploratoire évaluant l’utilisation de Remicade chez des patients atteints d’une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) modérée à sévère, plus de tumeurs malignes ont été rapportées chez les patients traités par Remicade que chez les patients du groupe contrôle. Tous les patients avaient des antécédents de tabagisme important. Des précautions doivent être prises chez les patients présentant un risque accru de tumeurs du fait d’un tabagisme important.En l'état actuel des connaissances, un risque de développer des lymphomes ou d'autres tumeurs malignes chez les patients traités avec un agent anti-TNF ne peut être écarté. Des précautions doivent être prises quand un traitement avec un agent anti-TNF est envisagé chez des patients présentant des antécédents de tumeurs malignes ou lorsqu’on choisit de poursuivre le traitement chez des patients qui développent une tumeur.Des précautions doivent aussi être prises chez les patients atteints de psoriasis et ayant des antécédents médicaux de thérapie immunosuppressive soutenue ou de traitement prolongé par puvathérapie.Depuis la commercialisation de Remicade, de rares cas de lymphomes T hépatospléniques ont été rapportés chez des patients traités par des anti-TNF y compris Remicade. Ce type de lymphome T, de survenue rare, se caractérise par une évolution très agressive et une issue habituellement fatale. Tous les cas survenus avec Remicade l’ont été chez des patients atteints de maladie de Crohn ou de rectocolite hémorragique et la plupart étaient des adolescents ou de jeunes adultes de sexe masculin.. Tous ces patients avaient reçu un traitement par azathioprine ou 6-mercaptopurine en association ou juste avant la prise de Remicade. Le risque potentiel de l’association de l’AZA ou 6-MP avec Remicade doit être soigneusement considéré. Le risque de développer un lymphome T hépatosplénique chez les patients traités par Remicade ne peut pas être exclu.Tous les patients atteints de rectocolite hémorragique ayant un risque élevé de développer une dysplasie ou un carcinome colique (par exemple, les patients avec une rectocolite hémorragique de longue date ou une cholangite sclérosante primitive), ou ayant des antécédents de dysplasie ou de carcinome colique doivent être examinés régulièrement pour dépistage d’une dysplasie avant la mise sous traitement et au cours de l’évolution de leur maladie. Cette évaluation doit comprendre une coloscopie et des biopsies conformément aux recommandations locales. Les données actuelles ne permettent pas de connaître l’influence du traitement par l’infliximab sur le risque de développement des dysplasies ou d’un cancer du colon.Du fait qu’il n’a pas été établi qu’un traitement par Remicade augmentait le risque de développer un cancer chez les patients traités par Remicade avec une dysplasie récemment diagnostiquée, les risques et bénéfices doivent être soigneusement évalués pour chaque patient et l’arrêt du traitement envisagé.Insuffisance cardiaqueRemicade doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque légère (classe I/II de la NYHA). Les patients doivent être étroitement surveillés et le traitement par Remicade ne doit pas être continué chez les patients qui développent de nouveaux symptômes ou une aggravation de leur insuffisance cardiaque.Chez les enfantsEn raison de l’insuffisance des données sur la tolérance et l’efficacité, Remicade n’est pas recommandé chez les enfants ≤ 17 ans, excepté dans la maladie de Crohn. Remicade n’a pas été étudié chez les patients atteints de maladie de Crohn âgés de moins de 6 ans.AutresLes paramètres pharmacocinétiques de l’infliximab chez le patient âgé n’ont pas été étudiés. Aucune étude n’a été réalisée chez les patients ayant une maladie rénale ou hépatique.Les données précliniques sont insuffisantes pour tirer des conclusions sur les effets de l’infliximab sur la fertilité et les fonctions générales de reproduction.L’expérience en matière de tolérance au cours des interventions chirurgicales chez les patients sous Remicade est limitée. La longue demi-vie de l’infliximab doit être prise en compte lorsqu’une intervention chirurgicale est prévue. Si un patient nécessite une intervention chirurgicale pendant son traitement par Remicade, il doit être étroitement surveillé vis-à-vis des infections, et des mesures appropriées doivent être prises.L’expérience en matière de tolérance du traitement par Remicade des patients qui ont subi une arthroplastie est limitée.Dans la maladie de Crohn, l’échec au traitement peut indiquer la présence de sténoses fibreuses fixes pouvant nécessiter un traitement chirurgical.Les données disponibles suggèrent que l’infliximab n’aggrave pas ou ne provoque pas de sténoses.

Interactions
Chez les patients ayant une polyarthrite rhumatoïde, un rhumatisme psoriasique ou la maladie de Crohn, il existe des données qui indiquent que l’utilisation concomitante du méthotrexate ou d’autres immunosuppresseurs réduit la formation d’anticorps anti-infliximab et augmente les concentrations plasmatiques de l’infliximab. Cependant, les résultats sont incertains en raison des limites des méthodes utilisées pour les analyses sériques de l’infliximab et des anticorps anti-infliximab.Les corticoïdes ne semblent pas affecter les paramètres pharmacocinétiques de l’infliximab d’une façon cliniquement significative.L’association de Remicade et de l’anakinra n’est pas recommandée.On ne connaît pas les éventuelles interactions entre l’infliximab et les autres principes actifs.Il est recommandé de ne pas administrer de façon concomitante des vaccins vivants avec du Remicade.

Adverse Reactions
Aucun cas de surdosage n’a été rapporté. Des doses uniques allant jusqu’à 20 mg/kg ont été administrées sans effets toxiques.

Manufacturer
Centocor B.V.

Updated
21 September 2009 

以下是“全球医药”详细资料
Tags: 责任编辑:admin
】【打印繁体】【投稿】【收藏】 【推荐】【举报】【评论】 【关闭】 【返回顶部
分享到QQ空间
分享到: 
上一篇REMICADE 下一篇Remicade 100 mg Pulver für ein..

相关栏目

最新文章

图片主题

热门文章

推荐文章

相关文章

广告位