ORFADIN 2 mg Gélule Flacon de 60
ORFADIN : ses indications
Traitement de patients avec diagnostic confirmé de tyrosinémie héréditaire de type 1 (HT-1), en association avec un régime alimentaire à faible teneur en tyrosine et en phénylalanine.
ORFADIN : pathologies pour lesquelles il peut-être prescrit
•Tyrosinémie héréditaire de type 1 |
|
Classe thérapeutique |
Métabolisme et nutrition |
Principes actifs |
Nitisinone |
Excipients |
Contenu de la gélule :Amidon de maïs,Tunique de la gélule :Gélatine,Titane dioxyde (E171),Encre d'impression :Fer oxyde (E172),Gomme laque (E904),Propylèneglycol (E1520) |
Statut |
Médicament soumis à prescription médicale |
Laboratoire |
Swedish Orphan Inter Ab |
ORFADIN : sa posologie
Posologie
Le traitement par la nitisinone doit être instauré et suivi par un médecin expérimenté dans la prise en charge des patients avec HT-1. Le traitement de tous les génotypes de la maladie doit être instauré dès que possible pour prolonger la survie et éviter les complications telles qu'une insuffisance hépatique, un cancer du foie ou une maladie rénale. Le traitement par la nitisinone doit être associé à un régime alimentaire à faible teneur en phénylalanine et en tyrosine ; celui-ci sera suivi en contrôlant les taux plasmatiques en acides aminés (se référer aux rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Effets indésirables).
La dose de nitisinone doit être adaptée à chaque patient.
La dose initiale recommandée chez l'adulte et l'enfant est de 1 mg/kg de poids corporel /jour, divisée en deux prises à administrer par voie orale.
Ajustement de la dose
Dans le cadre de la surveillance régulière, il convient de surveiller la concentration urinaire de succinylacétone, les valeurs des tests fonctionnels hépatiques ainsi que les concentrations en alpha-foetoprotéine (se référer à la rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Si la succinylacétone est encore détectable dans les urines un mois après l'instauration du traitement par la nitisinone, la dose de nitisinone devra être augmentée jusqu'à 1,5 mg/kg de poids corporel /jour divisée en 2 prises. Il est possible qu'une dose de 2 mg/kg de poids corporel /jour soit nécessaire, en fonction de l'évaluation de tous les paramètres biochimiques. Cette dose doit être considérée comme la dose maximale pour tous les patients.
En cas de réponse biochimique satisfaisante, la dose doit être ajustée uniquement en fonction du gain de poids corporel.
Toutefois, en plus des tests cités ci-dessus, pendant l'instauration du traitement ou lors d'une détérioration, il s'avèrera parfois nécessaire de suivre plus attentivement tous les paramètres biochimiques disponibles [ soit la concentration plasmatique en succinylacétone, la concentration urinaire en 5-aminolévulinate (ALA) et l'activité de la porphobilinogène (PBG)-synthase érythrocytaire].
Groupes particuliers de patients
Il n'existe aucune recommandation de dose spécifique pour les personnes âgées ou les patients présentant une affection rénale ou hépatique.
Population pédiatrique
L'innocuité et l'effet de nitisinone ont été étudiés dans la population pédiatrique. La recommandation de dose en mg/kg de poids corporel est identique pour les enfants et les adultes.
Mode d'administration
La gélule peut être ouverte et son contenu dispersé dans une petite quantité d'eau ou d'aliments juste avant la prise.
ORFADIN : son aspect et forme
Gélules de couleur blanche opaque portant l’inscription « NTBC 2 mg » en noir sur leur enrobage. Les capsules contiennent une poudre blanche à blanc cassé.
ORFADIN : comment ça marche
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
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Traitement avec nitisinone
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ORFADIN : sa posologie
Posologie
Le traitement par la nitisinone doit être instauré et suivi par un médecin expérimenté dans la prise en charge des patients avec HT-1. Le traitement de tous les génotypes de la maladie doit être instauré dès que possible pour prolonger la survie et éviter les complications telles qu'une insuffisance hépatique, un cancer du foie ou une maladie rénale. Le traitement par la nitisinone doit être associé à un régime alimentaire à faible teneur en phénylalanine et en tyrosine ; celui-ci sera suivi en contrôlant les taux plasmatiques en acides aminés (se référer aux rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Effets indésirables).
La dose de nitisinone doit être adaptée à chaque patient.
La dose initiale recommandée chez l'adulte et l'enfant est de 1 mg/kg de poids corporel /jour, divisée en deux prises à administrer par voie orale.
Ajustement de la dose
Dans le cadre de la surveillance régulière, il convient de surveiller la concentration urinaire de succinylacétone, les valeurs des tests fonctionnels hépatiques ainsi que les concentrations en alpha-foetoprotéine (se référer à la rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Si la succinylacétone est encore détectable dans les urines un mois après l'instauration du traitement par la nitisinone, la dose de nitisinone devra être augmentée jusqu'à 1,5 mg/kg de poids corporel /jour divisée en 2 prises. Il est possible qu'une dose de 2 mg/kg de poids corporel /jour soit nécessaire, en fonction de l'évaluation de tous les paramètres biochimiques. Cette dose doit être considérée comme la dose maximale pour tous les patients.
En cas de réponse biochimique satisfaisante, la dose doit être ajustée uniquement en fonction du gain de poids corporel.
Toutefois, en plus des tests cités ci-dessus, pendant l'instauration du traitement ou lors d'une détérioration, il s'avèrera parfois nécessaire de suivre plus attentivement tous les paramètres biochimiques disponibles [ soit la concentration plasmatique en succinylacétone, la concentration urinaire en 5-aminolévulinate (ALA) et l'activité de la porphobilinogène (PBG)-synthase érythrocytaire].
Groupes particuliers de patients
Il n'existe aucune recommandation de dose spécifique pour les personnes âgées ou les patients présentant une affection rénale ou hépatique.
Population pédiatrique
L'innocuité et l'effet de nitisinone ont été étudiés dans la population pédiatrique. La recommandation de dose en mg/kg de poids corporel est identique pour les enfants et les adultes.
Mode d'administration
La gélule peut être ouverte et son contenu dispersé dans une petite quantité d'eau ou d'aliments juste avant la prise.
ORFADIN : son aspect et forme
Gélules de couleur blanche opaque portant l’inscription « NTBC 2 mg » en noir sur leur enrobage. Les capsules contiennent une poudre blanche à blanc cassé.
ORFADIN : comment ça marche
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoacétate. La succinylacétone inhibe la voie de synthèse des porphyrines, ce qui conduit à une accumulation de 5-aminolévulinate.
Le traitement par la nitisinone normalise le métabolisme des porphyrines avec une activité normale de la PBG-synthase érythrocytaire et un taux urinaire normal de 5-ALA, une excrétion urinaire de succinylacétone réduite, un taux plasmatique de tyrosine accru et une excrétion urinaire d'acides phénoliques accrue. Les données disponibles lors d'une étude clinique indiquent que la concentration urinaire de succinylacétone est redevenue normale chez plus de 90% des patients au cours de la première semaine de traitement. La succinylacétone n'est détectable ni dans les urines ni dans le plasma lorsque la dose de nitisinone est correctement ajustée.
Effets sur la survie générale
Par comparaison aux contrôles historiques, on peut constater que le traitement par la nitisinone, associé à un régime alimentaire restreint, donne une meilleure probabilité de survie dans tous les phénotypes de la HT-1. Cela est indiqué dans le tableau suivant :
Age au début du traitement ou au moment du diagnostic |
Probabilité de survie |
< 2 mois |
82 |
-- |
28 |
-- |
> 2 - 6 mois |
95 |
95 |
51 |
34 |
> 6 mois |
92 |
86 |
93 |
59 |
* D'après la Figure 1,Van Spronsen et coll., 1994.
Il a été mis en évidence que le traitement par la nitisinone réduit le risque de survenue d'un hépatome (risque 2,3 à 3,7 fois moindre) lorsqu'il est comparé aux données historiques avec régime alimentaire seul. Il a également été observé que l'instauration précoce du traitement réduisait encore plus ce risque de survenue d'un hépatome (risque 13,5 fois moindre lorsque le traitement commençait avant l'âge de 12 mois).
Classe pharmacothérapeutique : autres produits du tube digestif et du métabolisme, divers produits du tube digestif et du métabolisme, Code ATC: A16A X04.
Dans la tyrosinémie de type 1 (HT-1), l'anomalie biochimique est une carence en fumarylacétoacétate-hydrolase, qui est la dernière enzyme de la voie catabolique de la tyrosine. La nitisinone est un inhibiteur compétitif de la 4-hydroxyphénylpyruvate dioxygénase, une enzyme en amont de la fumarylacétoacétate-hydrolase sur la voie catabolique de la tyrosine. En inhibant le catabolisme de la tyrosine chez les patients avec HT-1, la nitisinone empêche l'accumulation de produits intermédiaires toxiques, le maleylacétoacétate et le fumarylacétoacétate. Chez les patients avec HT-1, ces produits intermédiaires sont réduits en deux métabolites toxiques, la succinylacétone et le succinylacétoac&eac
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